Et 64 bientôt hélas...

Poème plein de colère actuelle, courage et force à tous ceux qui n'en voient pas le bout ! 

Piti

Poétique célébration ! Presque tous les sens sont invoqués dans ce texte, il pose une belle ambiance.

Joyeux anniversaire à monsieur l'ami de GG 1952.

Piti

Je désteste l'été parce qu'il fait trop chaud, alors je préfère le crépuscule, promesse (pas toujours tenue) d'un peu de fraîcheur. Toutefois, de manière générale, je suis d'accord avec toi : il y a quelque chose de fascinant au lever et au coucher du soleil.

Piti

Bonsoir Sifoell !

Je suis en pleine lecture pour les DL hihi et je dois dire que ton intrigue... m'intrigue.

Je sens que ce chapitre est super important, qu'il pose plein de bases pour la suite. 

Procope est dur mais en vrai je crois qu'il y a aussi les effets de sryle des auteurs anciens, qui aimaient bien les répétitions pour caractériser les gens et tout. Je retrouve ça dans ta narration, j'aime bien aussi toutes les petites références au contexte historique. 

Tu dis que tu n'es pas spécialiste de l'histoire - ou plutôt de cette période - mais tu dois bien aimer l'histoire non ? 

(Bon en vrai j'ai d'autres questions, mais je me dis que ce n'est pas pertinent que je les pose maintenant. Je les garde pour la DL hihihi ♥) 

Hâte de découvrir la suite de cet univers ! 

Piti

A mon grand désarroi je me rends compte que je n'ai pas encore laissé de commentaire sur tes haïkus ! (en vérité dans mes souvenirs j'avais développé quelque chose autour du thème "ça fait tout un poème par mois", j'ai juste probablement complètement oublié d'appuyer sur "envoyer", c'est... malin).

Et donc je dois te dire plus formellement que j'aime bien ta présentation des haïkus par sessions d'un mois, d'abord il y a des tonalités d'ensemble (peut-être l'humeur du moment qui influe ?) et qui correspondent aux divers temps de l'année, et ensuite, cela forme effectivement tout un poème.

Quant aux haïkus en eux-mêmes, je les aime beaucoup, des petites images de vie, réelle ou pas pour toi mais qui en tout cas résonne avec le quotidien. Ca me plaît beaucoup.

Sur cette session estivale il y a une image et un jeu de sonorités que j'aime particulièrement, pour la vingt-neuvième semaine, celle du vent joyeux qui se réjouit, c'est joli !

Piti

J'aime bien comment tu procèdes méticuleusement à l'installation de la situation de Kelly avant de verser dans le vif du sujet, ça ne rend la fin qu'encore plus flippante ! En plus, étant prévenue que c'était de l'horreur grâce à ton choix de catégorie, je savais à chaque étape que noooon, il ne fallait pas y aller, ne pas s'inquiéter de la tache, ne pas déblayer les lattes, quant à ouvrir la trape, oulala non !

Pauvre Kelly - le silence instauré par la fin de cette histoire ne peut que contribuer à faire marcher l'imagination (pas dans le bon sens me concernant). J'ai un autre regard sur les faux-plafonds maintenant haha, ça va, il n'y en pas chez moi, je vais bien dormir cette nuit XD

Piti

Le travail sur les sonorités est sublime... Je n'ose pas le lire à voix haute car il y a quelqu'un chez moi haha mais c'est exactement ce qu'il faudrait pour l'apprécier pleinement ! Et j'adore le vers un peu plus long, qui traîne un peu plus encore que toute cette pluie et ces passants qui dégoulinent, où il y a le coup de foudre (les coups de foudre).

Et puis ces presque-rimes comme autant d'occasions manquées (ou pas !). Si ça se trouve, je glose et ce n'est pas la raison pour laquelle tu as fait ce choix, mais en tout cas, le rendu est très, très beau !

Piti

Bonsoir MimUpsilon !

Ce qui est amusant dans cette histoire est qu'à aucun moment tu ne dis nommément que ces étranges créatures sont des nains de jardin, bien que les éléments installés au fur et à mesure (la taille, le côté humanoïde a priori, la matière...) viennent nous indiquer le bon chemin.

Il y a aussi un côté pris sur le vif, c'est-à-dire qu'au lieu de nous expliquer d'abord les différents personnages, le village, le ceci, le cela, tu nous montres directement une scène habituelle de la vie de ces petits campagnards. La façon dont tu te places directement à leur hauteur (la feuille de menthe qui est suffisante pour faire la toilette, la bordure sur laquelle il faut sauter...) est crédible, aussi. 

De par le début de cette histoire dans un jardin, des petits personnages animés à rebours de ce qu'en verraient les humains, la présence d'un chat, d'une souris, avec de beaux prénoms de chat et de souris, cela m'a fait beaucoup penser aux Contes de Beatrix Potter ! Quand j'étais petite j'avais des livres d'elle et leur adaptation filmée et j'adorais ces moments passés dans la campagne anglaise aux côtés des lapins, des grenouilles et autres mulots... Bref, instant de nostalgie !

Bon courage pour la continuation de l'écriture !

Piti