Wow. C'est tout ce qui m'est venu à l'esprit à la fin. Pas qu'elle soit extrêmement imprévisible : le mec a l'air d'avoir le cerveau sacrément pété, même si j'ai été suprise par l'agression. Mais l'enchaînement du dernier paragraphe, avec les impératifs, et juste après la phrase presque absurde du chien, ça... Ben ça claque quoi ^^ Je commence par la fin, mais j'aime bien le tout ! C'est bien écrit, clair, rapide, efficace surtout, oui c'est ça, efficace : les bons mots au bon moment, et tu nous entraînes dans son cerveau de camé. J'avais vraiment l'impression d'être en train de suivre Phil sans pouvoir m'arrêter, comme conduite par un... J'allais dire un "lien" qui fait qu'on est obligé de le regarder faire tout ça, mais de façon totalement extérieure... Et en même temps on est dans son cerveau. Je sais pas si je suis très claire. Mais voilà, bravo pour ce texte ! Pas des plus romantiques, hin, pour une valentine, mais je suis contente de l'avoir lu :)
Oh, et, bien joué le "craquement imitation corne" !

Réponse de l'auteur: J'ai passé énormément de temps à cogiter sur ce texte, mine de rien... Plus sur la forme que sur le fond d'ailleurs. Enfin comme le sujet c'était "incongru", je voulais que ce soit très logique, donc pas spécialement d'effet de surprise du coup.
Effectivement, c'est pas romantique, mais j'ai beaucoup du mal à écrire un texte qui ne parte pas dans un trip glauque, je ne sais pas pourquoi... ^^'
Merci beaucoup pour cette critique! :)

Salut Miko !
C'est un chouette OS que voilà, j'aime beaucoup l'idée des personnages coincés dans le magasin ! J'adore la première phrase d'ailleurs, et tout le paragraphe qui suit avec les sous-entendus ;) Très belle idée, la papeterie !
Après, c'est une histoire sympa, même si je trouve le début un peu rapide. Enfin, pas le début de l'histoire, mais le début de la relation : je pense qu'il manque quelques phrases, quand Tom vient voir Alia, ou quand ils se retrouvent bloquer, pour poser l'attirance entre eux, parce qu'on a un peu l'impression qu'ils se sautent dessus sans raison ^^ (Et aussi, j'ai été un peu perturbée par l'alternance de points de vue, parfois au milieu d'une phrase, mais c'est sûr que c'est dur à gérer dans un PWP !)
Mais après, il y a plein de choses qui marchent bien et qui rendent la scène de sexe très réaliste : la cheville de Tom contre celle d'Alia, qui ne la retire pas, Alia forcée de s'écarter de Tom pour retirer son t-shirt, l'hésitation de Tom et Alia qui comprend et va chercher le préservatif... Et puis j'aime bien la manière dont tu décris le sexe en lui-même, assez franche, directe, on se sent vite emportée avec eu. Et surtout, j'adoooooore la fin avec les lumières qui se rallument brusquement XD
Bravo pour ce premier PWP, et merci pour la lecture !

Salut Mary !

J'avais très, très hâte de lire ton texte parce que le titre m'intriguait beaucoup, et que j'avais bien aimé les extraits que j'ai vus dans le CàM... Et bien je n'ai pas été déçue ! C'est vraiment un chouette texte, j'étais curieuse de voir si quelqu'un utiliserait le confinement... Et tu l'as très bien fait ! En y rajoutant le trope classique du "roomates to lovers", un de mes préférés, donc vraiment il y a tout ce qu'il faut ;)

J'aime bien le ton cru de tes personnages, et la manière donc tu racontes leurs ébats... C'est direct, c'est franc, un peu vulgaire, et ça marche. Tu écris bien, et ça marche très très bien sur ce texte... Et j'aime bien le fait qu'ils continuent après cette seule scène ^^ Chacun-e utilise l'autre et j'adore le fait qu'ils l'assument, et elle en premier !

Je crois que c'est pour cette raison que la fin m'a un peu déçue, le côté "des sentiments se sont rajoutés" sort un peu de nulle part et correspond moins à l'état d'esprit du texte... Mais ce n'est pas grave, c'est bien écrit aussi ! Merci pour ce texte, Mary-m !

Cachou,

Je n'ai qu'une envie après cette lecture : te lire plus. J'aimais déjà tes fanfictions, mais je crois que quand c'est tes mots sur tes propres personnages, ton propre univers, c'est encore plus intense. Ce texte, je ne m'y attendais pas, il m'a un peu retournée je crois ? C'est puissant, c'est prenant - ça prend aux tripes, et ça ne nous lâche pas, jusqu'à la dernière phrase qui permet enfin de souffler.

Ma review va être un peu désordonnée - c'est l'état dans lequel tu m'as mise, et encore j'ai laissé passer du temps entre la lecture et la review. Il y a quelque chose de terriblement brut, à vif, comme les émotions de Noanne, comme les blessures toujours vives. J'imagine que cet aspect est exacerbé par le noeud du problème : cette absence de confiance qui se traduit dans le toucher - ou plutôt la peur d'être touchée. Je n'ai pas de souci avec le toucher, mais la peur de faire confiance, l'angoisse me sont familières, et j'ai retrouvé ces sensations, et j'en ai traversé bien d'autres avec que je ne connais pas, avec ton texte. C'est brillant, je n'ai pas vraiment les mots pour dire tout ce que ça fait. Peut-être que je reviendrai le relire et le re-reviewer ?

Tu parles d'un projet plus large. Je ne sais pas si c'est le projet bidule-truc ou autre chose, mais Cachou, j'espère vraiment, vraiment, vraiment que tu vas le faire lire. En tout cas, moi, j'ai très envie de lire ça - je suis prête à être bouleversée.

J'avais envie de te dire des phrases que j'aime particulièrement, mais il y en a plein, alors je ne sais pas laquelle choisir. Mais il y a cette fin, que je trouve très, très belle, tant dans l'image que dans le rythme. "Je resserre mes doigts près des siens. Je lui offre une partie de ma confiance. Un minuscule morceau, parce que je n’en ai qu’en faible quantité. Je ne la lui reprendrai pas."

Merci pour cette lecture, et de nous avoir confié ces mots et ces sensations ❤

Salut Juliette !

Bravo pour cette incursion dans l'esprit d'un enfant gourmand, ton texte m'a fait beaucoup sourire, Archi est très attachant ! Moi aussi quand j'étais petite et que je faisais des choses que je n'avais pas le droit de faire, j'étais à moitié persuadée qu'il y avait des caméras qui me surveillaient (il y avait un câble qui ne servait à rien au-dessus de la porte dans la cuisine, j'ai compris des années plus tard que c'était juste une prise télé non utilisée hahaha). Alors ça m'a fait rire de voir Archi pris là-dedans... Mais il fait bien plus d'effort pour les éviter que moi à son âge ;)

J'aime beaucoup, beaucoup la manière dont tu amènes à suivre le fil de ses pensées, c'est très entraînant, très réaliste (bon sauf le fat que ce sont les jaunes qui ont gagné à KL hein, faut pas pousser :mg:). Tous les petits détails sur sa maman, les voisin.e.s, le copain Greg, ça ajoute à l'authenticité. Et j'aime bien ta manière d'écrire, très fluide, qui rend très bien compte du déroulé un peu fouilli de ses pensées. Je crois que mon truc préféré, ce sont les associations d'idées d'Archi !

Merci pour cette chouette lecture ! :D

Ooh je suis soulagée ! J'allais te dire : ça ne devrait pas être dans la catégorie "Humour", c'est tragique cette histoire de mérule ! Mais ouf ouf ouf Poto et ses poteaux n'ont pour de vrai pas la mérule >< (enfin, courage à eux pour le remplacements)

J'ai adoré ce que tu as fait là, MG ! Les allitérations en P, cette histoire de poteaux humanisés, l'utilisation joliment imbriquée des deux mots, les caractères des poteaux, le manque des humains, la fierté de Polo... J'ai deux amis que j'appelle Polo (ou Paulo) et ce texte m'a direct fait penser à eux, ça a sans doute encore aidé à m'attacher au tiens, de Polo ! Et puis c'est drôle, qu'est-ce que c'est drôle, un peu tragi-comique avec cette histoire de maladie, mais tout de même ! Quelle belle idée !

Bravo pour ce texte MadamaGuipure, et merci beaucoup pour la lecture !

Seonne, en commençant cette review j'avais très envie de te faire un "La suite !!!" hahaha parce que... En vrai j'aimerais grave lire la suite des aventures de Miranda et Kunigunde :D Je ne sais pas si tu les as inventées pour l'occasion ou si elles font partie d'un projet plus large, mais tu m'as emportées avec elle dans la ville de York (que j'adore par ailleurs) et sur ses remparts.

C'est très bien raconté, l'action est passionnante à suivre, et le cheminement des pensées de Miranda est bien retranscrit. Il y a un dynamisme dans ton récit qui est super chouette, j'avais l'impression de courir avec elles moi aussi :D Je trouve que tu distille aisément des informations sur cet univers et tes personnages, assez pour qu'on ne soit pas perdues, et c'est pas évident donc bravo pour ça aussi !

J'aime bien la manière dont tu as utilisé le thème de l'obstacle. Au début, j'étais moins sûre de voir où était la volonté, mais en réalité la détermination de Miranda est bien transmise. Quant au pouvoir de Kunigunde, je ne m'y attendais pas, mais c'est un chouette avantage - et qui me donne envie de savoir ce qu'elle peut faire d'autre ! Merci pour cette lecture :D

Déjà : j'adore ta note de fin de chapitre. Je sais, ce n'est pas le texte que je suis censée reviewer, mais cette précision est adorable.

Ensuite : confession, je crois n'avoir jamais manger de bouchées à la reine et je ne m'attendais pas en lisant le titre à suivre littéralement le récit d'un carnage de bouchée à la reine. Dans le premier paragraphe, j'étais un peu perdue : j'essayais à tout prix de comprendre la métaphore, analysant les groupes de mots (je n'ai toujours pas compris quelle était cette blessure d'ailleurs x)). Et puis avec cette phrase, "Ou affronter la dure, cruelle, réalité" tu m'as attrapée et entraînée dans ton histoire.

Quand j'ai lu "à l'époque de Napoléon" dans tes contraintes, j'ai eu en tête un brouillard d'images allant de dorures et de velours rouge à des costumes d'époque, mélangée aux scènes de La Chartreuse de Parme que j'ai étudiées en prépa. C'est come ça, on me dit Napoléon, je pense bataille. J'ai l'impression que toi aussi, parce que vraiment cette aventure de petit pois était digne d'une bataille Napoléonienne ! Je me suis retrouvée plongée dans ces textes épiques que je dévorais plus jeune, dès la première phrase d'ailleurs. "Partout où il regarde, des cendres et des corps enchâssés, des amas disséminés sur le champ de bataille, un décor de désolation qui oscille dans la lumière collante, gluante, du soir au rose dilué par les nuages." Plus je la relis, plus je me dis que ce début est fou, tellement imagé, tellement détaillé et en même temps quand on relit, avec la double lecture, le tragique devient pathétique et presque drôle !

C'est normal d'avoir de la compassion pour un petit pois et un morceau de feuilleté ? Je sais pas si c'est la "roulade maîtrisée" de Geoffroy ou toutes les émotions qu'il traverse, mais il est si... humain ! Ou alors, c'est les prénoms x) Didier et Bérangère, le poivrier et la salière, et Geoffroy le petit pois, mais j'adore ! On dirait les personnages d'un album pour enfant. J'ai vu quelqu'un citer Motordu dans les reviews, ça me fait penser à ça en effet ! D'ailleurs j'adore le coup du poixier et de Didier qui refuse des béquilles, pauvre chaton.

En tout cas c'était une aventure ! Je l'ai relue plusieurs fois, pour être sûre de tout capter (mais je vais probablement te redemander de m'expliquer des trucs), mais j'aime trop le principe ! Et bravo pour ce texte aussi riche en 700 mots, c'est brillant ! ❤