– Non Yurlh, vers tribord !
Kwo utilisait les mots que le barbare comprenait au lieu de droite et gauche, des mots sans signification aucune pour lui. Les tissus tirés entre les prisons encastrées dans le mur circulaire du premier étage étaient autant d’obstacles à la vue, pour se tracer un chemin. Kwo, sans cesse, se penchait à la rambarde pour mieux voir le prochain escalier qu’il visait. Déjà les gardes montaient. Et, un instant, il s’arrêta, afin d’observer si le géant au daïka avait quitté son poste de devant la sortie.