Quand dans la Savane il fait chaud,
Sous son feuillage, les animaux
Se protègent du soleil
Qui brille sans pareil.
Les rayons cognent sur sa tête
Et le baobab n’est pas à la fête,
Alors pour ne plus y penser
Au loin, il rêve de voyager...
Il voudrait voir le Pôle Nord,
Où il fait si froid dehors.
Mais ses racines statiques
Ne peuvent bouger de la terre d’Afrique.