J'ai bien aimé ton texte même si je suis sûre de ne pas tout avoir compris. J'ai bien aimé les personnages et le thème du théâtre. J'ai bien compris que l'enfant était tourmenté. C'est poétique.

C'est étrange au possible, avec de très belles images.
"je ne pleure pas, tu sais, c’est juste tout le sable des métaphores perdues" : et le sable dans les yeux, ça pique, et il faut du collyre
"l’un des coudes a été mal dessiné et paf, dans mon nez." : magnifiquement trouvé

Il y a certaineemnt des subtilités que je rate, mais je perçois le miroir, la voix intérieur, la conscience et l'insconcience, le rêve et la timidité, l'envie et la petite fille qui se débat de ses solitudes et des décisions étouffées.
Le théâtre est sympathquement employé, encore un miroir.

L'image du Perroquet est très originale, très tortueuse ici.

J'aime bien.

Bises plumeuses,
Avel

Réponse de l'auteur: Diantre de diantre. Je dois toujours te commenter en réponse ! Ca viendra quand je serai en vacances, je crois. (Je soupçonne mon narrateur d'être un garçon. Mais il a effectivement beaucoup d'une petite fille nommée Catherine...) Merci beaucoup pour ton commentaire. Et douces bises à toi.

Encore un coup au coeur, ton texte, et une larme au coin de l'oeil. Bon, après je suis émotive en ce moment, mais bon. Comme dans presque chacun de tes textes, je me retrouve un peu, et ça vient douloureusement me chercher. C'est magnifique, Perroquet, Perroquet...La vie, le théâtre... Sincèrement je ne sais pas quoi dire de plus, mis à part que j'aime, mis à part que tu as une plume extraordinaire, voilà.

Queen.

Réponse de l'auteur: Non, non, je n'ai pas mis une éternité à répondre. Enfin, presque pas. Mais bon. En septembre comme en février, ton commentaire me touche vraiment. Merci !