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Commentaires pour Trait d'absinthe
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Reviewer: Pruls Signé [Signaler ceci]
Date: 12/08/2021 23:55 Title: Chapitre 1

Oh wow ! Bonjour Vero, je suis tombée carrément par hasard sur ce texte, il était dans la suggestion aléatoire de la page d'accueil… je ne regrette vraiment pas d'avoir cliqué. C'est une lecture qui remue et qui anime, pleine de poésie, de jeux de mots, de sens, de sonorités, d'idées fortes et d'émotions brutes. J'ai lu il y a quelques jours un autre texte sur ce même atelier, mais ton texte n'a vraiment rien à voir. Il détonne de tout ce que j'ai pu lire ces derniers temps. Ça fait deux fois que je le relis. Faudrait que je prenne du temps pour laisser décanter et le lire encore demain. Ou un autre jour. Mais le relire, encore. Et adorer, encore. C'est tellement beau et c'est tellement intéressant (et j'ai tellement rien à dire devant ce petit trésor à part merci je suppose ?).

Reviewer: Cass Signé [Signaler ceci]
Date: 24/12/2013 19:15 Title: Chapitre 1

C'est un texte magnifique! Le genre de texte que, à la première lecture, je ne comprends rien, mais qu'en bout de ligne, c'est l'émotion qui est plus facile à comprendre que l'histoire. Le genre de texte que j'aime bien ^^

Joyeux Noël!

Reviewer: Halalyl Signé [Signaler ceci]
Date: 30/12/2012 20:22 Title: Chapitre 1

Ça fait juste une éternité que je n'ai rien lu sur internet, je devrais passer plus souvent...

Tout d'abord, c'est voulu ou cette phrase n'est pas finie?

"Et les nuages saignent du turquoise et du soleil l’atelier est une marée verte les empreintes de ses mains partout partout sur les murs et sur elle et les toiles déchirées partout et les pinceaux brisés et "

La première pensée qui m'est venue à l'esprit, c'est comment un texte tel que celui-ci peut naître avec un thème comme vert? Je suis curieuse.
Je tenais surtout à saluer la richesse de ton texte, j'ai appris pleins de nouveaux termes.
L'histoire est bonne, mais je retiendrais pour ma part plus le style. Très percutant.

Reviewer: Aliv Signé [Signaler ceci]
Date: 24/08/2012 17:52 Title: Chapitre 1

Je n'ai strictement rien compris à ton texte. Mais je l'ai trouvé fort bien écrit et poétique.

Reviewer: via_ferata Signé [Signaler ceci]
Date: 28/03/2012 10:02 Title: Chapitre 1

Owi. j’aime, j’aime, j’aime. Que puis-je dire d’autre, très sérieusement ? Dès la première ligne, il est écrit en néon clignotant (je fais une fixette sur les néons, moi, non ?) Via va aimer clic bzit clic Via va aimer.
Bon. La réflexion, les contrastes qui construisent strate par strate un personnage d’apparences et de caprices tacites, le « Quand bien même. » (ohmondieu, le quand bien même, il est juste génial. Tu sais, ce petit truc, le rejet, plonger, je ne sais pas quoi, tout ça en trois mots et leur désinvolture. J’aime.), tout ça, ça fait l’effet et waw.

Les jeu de mots et les listes dans lesquels tu te plais de plus en plus, c’est une force, et ça va si bien à tes personnages (encore une fois, je le dis, un mélange des jeux de Vestale et des, comment dire, peut-être des évidences d’Avril (parce qu’il ne sert à rien de faire comme si ce texte était anonyme, n’est-ce pas ?), mais une Avril sublimée, parce qu’ici, le style, le style est , totalement là.)

Elle se croyait dangereuse, ciguë, arsenic. Est-il besoin de dire à quel point les non-dits du choix des mots sont savoureux ? A quel point virgule ciguë virgule arsenic donne à la phrase un impact, une pénétration ? A quel point j’aime ?

Bon. La question de la muse, la muse consciente, la muse joueuse, le « c’est ça que je t’inspire ? Etre ta muse c’est ça ? », c’est une esthétique, pas forcément nouvelle, mais à laquelle j’adhère totalement et que tu as superbement mise en scène. Et les brouillons du corps.
Il se repaissait de ses déceptions

Nan, mais sérieusement, que veux-tu que je te dise qui ne soit pas petit cœur ? Que puis-je faire à part lire et relire et dire « j’aime, tu sais, j’aimais avant d’avoir lu » ?

Bon. Les œuvres sabotées, pas de rouille, seulement la trouille, tout ça, voilà. Ben vraiment. Vraiment, quoi. Je ne puis le dire.

Le dialogue tu es verte, où on ne sait pas vraiment si ce sont les possibles ou juste des répétitions dans l’expérience ou des répétitions dans leur quotidien. Le brouillon du corps qui brouille le texte. Tu sais, ce côté mécanique et litanique (j’aime les litanies, tu sais ?) qui s’accentue.

Et supplier et délirer, ne plus savoir, mourir d’oublier, de se rappeler, et c’était toi peut-être et ton visage il est partout et je te vois je te sais et je m’essouffle de t’appeler de m’affoler. Juste parce qu’elle est parfaite et qu’elle me transporte.

Oublier la rencontre.

Pressentir.

Revenir.

J’aime.
Je l’ai dit mille fois parce que je n’avais rien d’autre à dire. Ce n’est pas constructif, c’est juste étalé. Mais bon. Encore une fois, c’était une digne tentative.

Reviewer: Avel Signé [Signaler ceci]
Date: 13/03/2012 22:15 Title: Chapitre 1

Whouah !

Très rapidement je me suis dit que j’aurais aimé écrire ce texte. Non pas parce qu’il est magnifique et que j’aurai aimé avoir de telles capacités d’écriture, non, mais parce que je m’y sens à l’aise, parce que j’ai l’impression de lire mon style, autrement dit, j’adhère totalement. Je me fonds dans cette prose poétique.

Bien sûr les mots sont magnifiques. Certaines phrases sont juste parfaites :
« J’étouffe dans le vert, dans la lumière. » : celle-ci m’a parlé de suite, car elle résume presque mon texte de l’atelier, ou du moins met des mots sur les sensations que j’ai voulu faire ressentir.
« La nervure des feuilles en transparence. » : ça c’est superbe.
« Elle se croyait dangereuse, ciguë, arsenic. » : magnifique, la ciguë et l’arsenic conviennent parfaitement, ils sont faits pour aller là.
« C’était si brillant.
Jade, émeraude.
Anis, menthe.
Véronèse. »
« mon venin » : le poison était déjà là, et ce mot résonne ce soir en moi parfaitement, car je viens d’entamer « un truc » où le venin coule – en quelque sorte.
« Les ciels un peu d’orage, d’orage vert, d’éclair, d’incompréhension et soupirer et voguer et dériver et tanguer. » : les couleurs, dans ma tête une explosion un peu psychédélique
« Et quand ton amour se corrode, il part en vert-de-gris. Tu ne connais pas la rouille, seulement la trouille. » : Magnifique.

Je pourrais en fait copier/coller tout.
J’ai adoré les mini-listes et les jeux de mots :-)
Je m'excuse de mon peu de constructivisme, mais je suis juste en extase.

Je me suis vraiment sentie en symbiose avec ce texte, et je t’en remercie énormément.

Reviewer: Vifdor Signé [Signaler ceci]
Date: 12/03/2012 11:04 Title: Chapitre 1

"J'aime de vos longs yeux la lumière verdâtre,
Douce beauté, mais tout aujourd'hui m'est amer,
Et rien, ni votre amour, ni le boudoir, ni l'âtre,
Ne me vaut le soleil rayonnant sur la mer."

Ton texte m'a fait penser à ce passage de Baudelaire. Et pas de commentaire constructif, à part que j'ai aimé.

Reviewer: Natiwan Signé [Signaler ceci]
Date: 02/03/2012 16:12 Title: Chapitre 1

Pfiou... je suis scotchée... je ne sais même pas quoi dire... Ca va être complètement incohérent... Vraiment, pfiou quoi...

C'est magnifiquement magnifique ! J'adore ! Je suis scotchée (encore) ! C'est de la poésie violente, j'adore ça. Pas forcement facile à lire, mais quand on se laisse prendre on en ressort avec le tournis, la nausée peut-être ?

Ca colle superbement bien à l'image je trouve. C'est vraiment ça. Maintenant que j'ai lu, je me dis que oui, c'est ça.

La passion, l'art, la muse : poison empoisonné, l'amertume, la dépendance. J'adore. Je ne sais pas (pour l'instant) qui est responsable de cette merveille, mais je suis sous le charme, enfin, plutôt intoxiquée que sous le charme. Et je préfère : ça tombe bien.

J'adore cette relation malsaine entre l'artiste et sa muse, cette possession, ce vol d'essence, et l'incompréhension derrière.

Le rythme saccadé, la ponctuation erratique ; j'aime tout. Parfois, ça laisse indifférent ou ça énerve, là c'est beau. C'est plein de reflets sombres. C'est Baudelairien dans l'essence.

Bon, je crois que je commence à délirer, alors je m'arrête là.

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