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Date: 14/11/2018 00:52 Title: Une fête d'anniversaire
Chère Mel,
Par oû commencer... ? J'ai dû interrompre plusieurs fois ma lecture (la vie "réelle étant ce qu'elle est). Ainsi donc il se peut que je sois moins "précise" que d'habitude...
Ce que je retiens surtout de ce chapitre, c'est le symbolisme qu'on peut y lire. C'est mon ingerprétation personnelle, mais je vois par exemple dans le personnage de Blandine une sorte de représentation du "démon intérieur" qui vient parfois rôder autour de nos sentiments les plus purs. Quant au collègue stewart, pour moi il est un peu le "fantasme désincarné", celui qui n'ira pas plus loin mais qui, dans une autre vie, aurait peut-être pu...
Je ne te cache pas que j'ai trouvé certains passages un peu plus "laborieux" (l'arrivée des convives notamment) mais ça n'a pas duré.
En revanche, le parti pris des cadeaux est bien vu. L'élégance penaude de Patrick, la complicité fraternelle de Nat', le vice malaisant de Blandine et enfin l'amour au-delà du matériel de Carla...
Je me demande donc comment ce départ pour l'Espagne va pouvoir s'articuler avec la relation clandestine.. Est-ce que cette préférence donné au couple "officiel" va se péreiniser...?
Rien n'est moins sûr ! "Une affaire à suivre" !
Réponse de l'auteur: Merci de me donner ton avis, ta touche personnelle à quelque chose de très gratifiant. Il faut dire que la façon dont tu perçois les choses me plait beaucoup. Inconsciemment, c'est sûrement les rôles que j'ai voulu distribuer à Blandine et Patrick, mais je ne l'aurai pas mieux imagé que toi. Le démon intérieur, c'est vraiment ça ! C'est pour cette raison qu'aucun lecteur n' de l'empathie pour Blandine, elle n'ait que mauvaise, elle n'est que passion interdite. Quant au fantasme désincarné, je crois que tout le monde lui fait face un jour ou l'autre et Patrick c'est un peu ça oui, du moins pour Maïwenn ! Et uniquement pour elle.
Pour ce qui est des passages laborieux, je n'en suis pas surprise... A vrai dire ce chapitre est sortie de ma tête et s'est posé sur la page virtuelle à la vitesse de la lumière. Sans compter que l'arrivée des convives a été en grande partie réécrite parce qu'elle avait malencontreusement été effacée... (j'étais dégoûtée tu t'en doutes). Et d'après moi le deuxième essai, en art, n'est jamais aussi bon que le premier, en tout cas dans mon cas ça se vérifie à chaque fois.
Rien n'est moins sûr en effet ! Tu verras bien (je n'ai pas commencé la suite mais j'ai une idée bien sûr).